Salle de concert La Marbrerie à Montreuil (93)

King Ayisoba & ZEA

jeudi
2
février

Mardi 4 avril à 21h
Transe tradi-punk / Kologo music – Ghana

Ouverture des portes à 19h30, bar et restauration sur place.

  • ZEA (première partie)

Zea est le projet solo d’Arnold, chanteur de The Ex. Ses compositions assemblent des sonorités électroniques inspirées de la new wave européenne, du field recording anglais et de la scène gabber (techno) hollandaise. Les rythmiques sont influencées de ses séjours africains et des tricotis guitaristiques typiquement noise et post-rock américain. Un voyage musical unique en compagnie d’un artiste d’exception.

  • King Ayizoba

L’univers de King Ayisoba est singulier et complexe. Les rythmes et danses frénétiques s’y mêlent à sa voix si particulière, tour à tour douce et suave, puis rocailleuse et tribale. Leurs concerts sont des expériences uniques, où les codes musicaux volent en éclats dans une énergie brute délivrée sans détour. King Ayisoba offre un univers où le monde des esprits fusionne avec les origines douloureuses de la musique Kologo, le béton et l’urbain du Hip Life, et les cris révoltés d’une jeunesse qui cherche encore son identité. Une transe entre la forêt mystique et le béton craqué d’Accra.

« L’univers de King Ayisoba fusionne le monde des esprits fusionne avec les origines de la musique Kologo, transformant ses concerts en autant de moments uniques, où les codes musicaux volent en éclats dans une énergie brute et authentique. De la transe roots et sauvage, deux voix qui se parlent dans un même corps, un look hallucinant, King Ayisoba fait trembler la terre ! Grand shaman ghanéen, il parcourt le monde avec ses danses et rythmes frénétiques, fusionnant son kologo, petite guitare à cordes montée sur une calebasse, à des beats électro. On y entend les rites ancestraux et l’urbain du higlife, les vibrations d’une forêt mystique et le béton craqué d’Accra. Une énergie brute qu’il met au service de la jeunesse, se faisant l’écho de ses accusations et revendications, en témoigne le titre de son dernier album « Wicked Leaders » (Dirigeants corrompus).  » – PATRICK LABESSE

« Au premier abord, la musique de King Ayisoba peut inspirer cette sorte de frayeur que communiquent les albums de free jazz les plus débridés. La voix grince et nasille au milieu d’une étrange cohue de percussions et cordes trouée par les appels discordants d’une trompe de chasse, d’une clarinette en roue libre ou d’une flûte suraiguë. Ce chaos apparent s’apprivoise pourtant, et l’on ressent alors le pouvoir fascinant des diatribes du punk-sorcier ghanéen en rébellion contre les élites corrompues et leurs politiques assassines. » – LES INROCKUPTIBLES

« King Ayisoba, sorcier-monarque aux dreadlocks sculpturales, militant pour une modernité rebelle. […] King Ayisoba pioche lui aussi dans le highlife, ou plutôt le hip-life, avatar hip-hop né dans la jungle urbaine d’Accra. C’est là qu’a atterri ce fils de berger frafra de la brousse nord-ghanéenne, avec sa culture animiste, son kologo (luth à deux cordes) et sa verve inimitable. Sur Wicked Leaders, son troisième album, il apostrophe les (im)puissants, la voix rocailleuse ou nasillarde, entre harangue âpre et douceur tribale. Mélange de sonorités abruptes, de ferveur mystique et de rythmes frénétiques minimalistes, sa transe roots et punk évoque autant la techno acoustique des Congolais de Kasaï All Stars que les emballements gnaouas.
Ensorcelant. » – TELERAMA

https://soundcloud.com/glitterbeat-records/king-ayisoba-1000-can-die/s-JV9pI


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Tarifs : 16,50€ (prévente)

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