Aujourd’hui, Juan Wauters, auteur-compositeur originaire d’Uruguay, partage son nouvel album, Wandering Rebel, via Captured Tracks. L’album présente de nombreuses collaborations avec Frankie Cosmos, qui chante sur « Modus Operandi » qui a été présenté sur « Best Songs Of The » d Remezcla Week » et « Songs You Need » de FADER, Zoe Gotusso sur « Milanesa al Pan », en vedette sur « Latin Songs of the Month » de Billboard et Y La Bamba sur « Nube Negra » qui était dans Wauters a également entrepris une tournée aux États-Unis plus tôt dans la semaine.
À ce jour, le sixième album solo de Wauters, Wandering Rebel permet de savoir comment il a changé, comment le monde le voit et ce qu’il veut dans la vie. Depuis ses débuts en tant que membre fondateur du groupe de garage The Beets dans le Queens, carrière solo impressionnante, Wauters a passé la majeure partie de la dernière décennie sur la route. Quand il ne faisait pas de tournée ou d’enregistrement, il traversait l’Amérique latine pour écrire son nouvel opus en langue espagnole « La Onda de Juan Pablo », Ensuite, direction le Nord pour collaborer avec des amis comme Mac DeMarco, Homeshake, Nick Hakim et plus encore pour la vie réelle bruyante de 2021.
Tout au long de Wandering Rebel, Wauters tente de concilier la stabilité dont il est venu profiter avec l’agitation nomade qui a caractérisé sa vie jusqu’à présent. En fin de compte, cependant, c’est l’interaction de ces deux éléments qui rend l’album si fort. Bien qu’il soit marqué par son introspection, il a été enregistré dans la mode Wauters classique, avec de nombreux collaborateurs à New York, LA, au Brésil et en Argentine. En même temps, sa cohésion est due à une période de réflexion qui n’est possible que dans le repos. Les moments de Wauters sont faits d’auto-réflexion honnête, qui prête la profondeur à son penchant pour l’expérimentation musicale ludique, alors que son réseau ne cesse de croître. Ses collaborateurs à travers le monde ajoutent nuance et fluidité à son écriture…
Borja Flames
Il a trois cerveaux, mille vies, passées ou parallèles et il s’appelle Borja Flames. Espagnol, parisien, bourguignon, cosmonaute, on ne sait plus.
Sa tête est celle d’un pope, d’un roi, d’un lion, d’un faune ou d’un centaure mélancolique. Il est bien habillé, avec des trous de boulettes et sa barbe : mérovingienne. On l’a connu dans June et Jim dont il était la face sud (à l’autre hémisphère : Marion Cousin) duo récemment transfiguré sous le nom Catalina Matorral, vraie pastorale électronique.
Nuevo Mediavo, son dernier album, est dès le début chanté sur la pointe des pieds, la voix argentée d’effets robotiques sur une descente de lit synthétique piquée de cymbales, on se sent tête nue dans un vaste cabinet d’étoiles, on est captivés. Il y a des rayons laser, des paroles d’oracle au vocoder. Paul Loiseau, le batteur morse, fait sonner toute la cuisine comme un orchestre de calculatrices défoncées, puis Borja Flames accélère le pouls du disque d’une diction de présentateur de journal télévisé mal luné sur un fond jungle.